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« Dernier message par Florent le avril 27, 2017, 05:59:34 pm »
Salut ! je ne sais si on doit aller au ministère maintenant mais on peut remarquer que macron est sans arrêt accompagne de pompili ce qui n'est pas de bonne augure pour notre futur a chacun de voir !! si elle devenais ministre de l'écologie ou a un poste non loin je crois que notre fin est proche!
D'où l'intérêt de se bouger le 7 mai et ne pas se tromper de bulletin... (Blanc et abstention ne servent à rien dans le système actuel)
Lors de cette réunion, il faut absolument mettre en évidence les enjeux de ce fichier national et surtout le fait que cela ne peut pas être tenu par une entreprise privée, encore moins étrangère. L'obtention d'un cahier des charges faciliterais grandement l'évaluation du projet.
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« Dernier message par Bruno le avril 27, 2017, 04:25:09 pm »
salut je ne sais si on doit aller au ministère maintenant mais on peut remarquer que macron est sans arrêt accompagne de pompili ce qui n'est pas de bonne augure pour notre futur a chacun de voir !! si elle devenais ministre de l'écologie ou a un poste non loin je crois que notre fin est proche!
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« Dernier message par Raf le avril 27, 2017, 11:41:08 am »
Salut.
Le 3 mai prochain, votre président est reçu au Ministère.
Ministère de l'environnement, de l'énergie et de la mer Tour Séquoïa 92055 LA DEFENSE
Ordre du jour: futur fichier national d'identification des animaux de la faune sauvage captive + discussion thèmes reconnaissance marquage des oiseaux par transpondeurs à puces, annexe X du Règlement (CE) n° 865/2006 du 4 mai 2006 , listes arrêté du 10 août 2004 …
Pas de compétence particulière demandée, juste être membre AGIR ESPÈCES, objectif: participer-apprendre-témoigner
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« Dernier message par Stéph le avril 13, 2017, 07:47:03 pm »
Bon, j'en profite alors pour me présenter vite fait auprès de ceux qu ne me connaissent pas. Petit éleveur détenteur de psittacidés du Lot et garonne (A priori pas loin de certains que je ne connais pas, mais où il faudra que je m'invite un de ces 4 ). Je fais parti, avec Raf, des membres fondateurs d'AGIR et suis accessoirement trésorier de l'asso.
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« Dernier message par Raf le avril 13, 2017, 04:57:56 pm »
Salut.
Encore des nouveaux (timides), bienvenue. N'hésitez pas à vous présentez … ET A PARTICIPER !
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« Dernier message par Raf le mars 20, 2017, 07:38:14 pm »
Salut. Bienvenue aux nouveaux et merci de votre adhésion.
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« Dernier message par Clargael le mars 17, 2017, 02:11:49 pm »
Bonjour,
j'ai enfin réussi à me connecter. Capacitaire Ansériformes de la région Hauts de France, j'essaierai de contribuer à la vie de ce forum. A très bientôt sans doute.
@+
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« Dernier message par Frabil le mars 13, 2017, 08:01:15 pm »
L'important c'est que ça se diffuse.
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« Dernier message par Denis le mars 11, 2017, 07:20:13 pm »
Bonjour, nouveau ici et bien content qu'il y ai ici des personnes compétentes et motivées pour défendre le petit éleveur d'oiseaux d'ornement.
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« Dernier message par Raf le mars 10, 2017, 04:16:35 pm »
http://www.clubcde.comN'ayons pas honte de nos activités dès lors que nous offrons à nos pensionnaires des conditions d’accueil optimales. Didier Leportois En tant qu’associations ou éleveurs individuels, méfions-nous de cette idéologie insidieuse qui souffle avec l’air du temps et qui voudrait qu’ « un bon éleveur soit un éleveur mort ». Pendant mon dernier séjour (2016) au Costa Rica un sujet y faisait débat : la décision du gouvernement de fermer les parcs zoologiques du pays et d’en remettre les animaux en liberté. Serpent de mer de la vie publique locale depuis 2003, l’exécution de cette décision est régulièrement ajournée pour des questions de procédure et il semblerait bien que sa mise en œuvre soit renvoyée au plus tôt à 2024, puisque la concession consentie par l’état aux deux parcs n’a pas été dénoncée dans les délais légaux. Quoi qu’il en soit les pouvoirs publics ont déjà coupé les subventions. Le Costa Rica fait figure de modèle souvent cité en exemple par les éco-politiques du monde entier, quitte à enjoliver quelque peu la réalité. La chasse étant interdite au Costa Rica, la détention est ici visée non en tant que « pompe aspirante » de prélèvements dans la nature, mais comme pratique contraire au bien-être animal. Il s’agit de promouvoir la « liberté pour tous ». Cette approche de la captivité reçoit un écho très favorable en Europe aussi bien de la part d’associations que de parlementaires qui pèsent pour qu’à terme la détention d’animaux sauvages par des institutions et a fortiori par des particuliers soit illicite. Ainsi, après avoir évité l’écueil de la prohibition dans les années 90 au titre de la préservation des populations sauvages vis-à-vis des prélèvements à finalité commerciale, l’aviculture européenne est aujourd’hui en but à un danger autrement plus grand à terme : la disqualification morale. La prohibition de la captivité d’animaux d’espèces sauvages n’opère pas de distinguo selon leur provenance ou les conditions de leur détention. La détention est assimilée à une forme de maltraitance et à cet égard même l’élevage pour la conservation ne peut constituer une exception. Les arrêtés de 2004 ont desserré l’étau et ménagé un espace de liberté surveillée pour l’aviculture française. L’éthique des éleveurs a fait le reste et leur immense majorité ne concevrait pas d’alimenter son élevage avec des animaux prélevés dans le milieu naturel. Il en va aussi de l’efficacité technique. Mais ces considérations ne valent rien au regard d’une idéologie qui proscrit par principe la détention pour ce qu’elle est. Pourtant, lors de mon séjour au Costa Rica, il m’est apparu qu’il n’y a pas de contradiction entre le fait d’aimer passionnément la Nature sauvage et l’observation de la faune ailée à l’état naturel et le fait de détenir des animaux nés et élevés en milieu contrôlé. La Nature n’est pas très tendre avec l’animal sauvage en tant qu’individu et le comportement de nos hôtes captifs nés dans nos volières, s’ils sont détenus dans des conditions compatibles avec leur physiologie, montre que la détention en tant que telle n’est pas de la maltraitance. J’ai visité à Dominical, sur la côte pacifique du Costa Rica, un centre de sauvegarde récupérant les accidentés de la vie sauvage. Lorsque leur état le permet les animaux sont relâchés. Nombre de relâchers échouent car les animaux reviennent se réfugier là où ils trouvent sécurité et nourriture.
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